Là c’est moi, lors de mon confinement!

Un petit peu d’internet par ci, un petit peu par là et grâce au talent de Enzo j’ai pu retrouver ce que plus me manquait en devenant « La fille qui regarde la mer ».

Je n’ai jamais arrêté de la voir cette mer, Enzo.

Mais reprenons depuis le début

Au début Dieu créa…le Salento.

Chose dite.

Chose faite.

Là, après la création de cette magnifique terre (mer comprise), après des invasions diverses et variées, l’arrivée de la pizzica, l’invention de la puccia et..le Primitivo ; dans la Grecìa Salentina, au coeur d’une petite ville nommée Calimera, mamma et papà Martano quant à eux, se sont « occupés » d’une autre création …Enzo ! Enzo qui me ravit de sa peinture depuis le jour où j’ai découvert sa passion. Enzo qui s’est construit de Salento…et cela n’est pas un détail parce que peu importe le pays où l’on vit, c’est la culture dans la quelle on vit qui importe et le Salento a gardé ses enfants serrés contre son ventre à travers tous les temps, dans sa nature, avec sa langue et ses rituels. Mais il ne l’a pas fait avec égoïsme et Enzo nous ouvre son cœur comme pour nous dire : « Toi aussi tu peux choisir où vivre… » . Et moi qui suis en perpétuelle recherche d’un ailleurs sans frontières où recycler chaque émotion pour y construire ma tanière, je me laisse capturer par ses ruelles, cachée dans le noir d’un portail j’épie les passants, joue avec les nuages, respire le vent, remercie les olivier d’exister et, dans une éternelle, tendre et lente sensation de nostalgie de ma terre natale…je suis finalement chez moi.
Enzo suit son parcours d’autodidacte, sans pressions, sans échéances (privilège de celui qui se laisse le temps de vivre) ; chaque nouveautés qu’il m’envoie c’est pour moi une découverte et peut être que chaque nouveau tableau s’en est une pour lui aussi… Parfois il me montre une œuvre et il me dit : « no…il faut que je la retouche car elle est trop simple… » et moi, qui ai toujours pensé la simplicité comme un bien précieux qui s’est perdu quelque part, je luis réponds : « nooo…ne le fais pas ». Mais Enzo n’a rien perdu du tout et, peut être parce que il ne cherche pas… : il trouve ! Il est (simplement) soi même en évolution…il évolue surpris par les nouveautés offertes par chaque coup de pinceau . Un autre jour, un autre voyage. Et nous on se promène avec lui à travers son monde qui deviens le notre, libres de choisir dans quelle direction aller…
A pacte d’avoir eu la chance de le rencontrer.

Alors, surtout ne me croyez pas…mais prouvez-moi le contraire !

Enzo Martano on Facebook

@enzo_martano

et si vous désirez le contacter directement: enzomartano@gmail.com

Cristina S.